dimanche 20 septembre 2015

L’AUDIBLE FESTIVAL
à L’ÉCHANGEUR et au LULL / LUTHERIE URBAINE
(Bagnolet)
à partir de 14h
#3

L’AUDIBLE FESTIVAL (4ème édition)
vendredi 18, samedi 19 & dimanche 20 septembre 2015
au Théâtre L’Échangeur et au LULL / Lutherie Urbaine (Bagnolet)


diffusions / concerts / projections / installation
musiques électroacoustiques

Un programme conçu par Jérôme Noetinger en collaboration avec  les Instants Chavirés.
Produit par les Instants Chavirés en partenariat avec L’Échangeur, Le LULL / Lutherie Urbaine, Motus, La Muse En Circuit et l’Ina GRM .
Avec la participation du DICRéAM.
Avec le soutien de Music Norway et de l’Institut Suédois à Paris.
Avec la complicité de Revue & Corrigée et Metamkine.

La billetterie en ligne est ouverte !
(Notez que vous pouvez acheter un ticket pour la journée entière ou seulement pour la soirée)
https://www.yesgolive.com/instants-chavires

– – – –
consulter la programmation des 18 & 19 septembre.
– – – –

: : :
programmation
DIMANCHE 20 SEPTEMBRE

: : :

– – – –
au LULL / Lutherie Urbaine  à partir de 14h00 >
– – – –

Le LULL / Lutherie Urbaine
59, avenue du Général de Gaulle, 93170 BAGNOLET
M°Gallieni, 01 43 63 85 42
http://www.lutherieurbaine.com/

OLLIVIER COUPILLE
Installation et performance

Un dispositif sonore électronique est il un système vivant? En tout cas il fait partie d’un système vivant, et d’une certaine façon, il peut contribuer à compliquer les limites entre le vivant et le non-vivant (si tant est qu’il y ait quelque utilité à diviser le monde ainsi).
Ce dispositif est en partie constitué de plusieurs oscillateurs (générateurs de sons électroniques) dont certains sont suspendus dans l’espace, et fonctionnent à l’énergie solaire. Ils forment une sorte de tissu sonore, un peu intemporel, dont les motifs varient selon l’intensité de la lumière, et qui s’écoule tout au long du jour.
La lumière naturelle change continuellement, d’instant en instant (les cellules solaires sont sensibles à des variations auxquelles nous ne faisons, d’habitude, pas attention).
Du fait que la lumière est tout le temps en train de changer, et que ces changements sont imprévisibles, il n’est plus question d’arriver à quoi que ce soit. Il n’est pas non plus possible d’avoir un contrôle total du processus. Toute pièce est, dès le départ, inachevée, et le reste.
Je ne peux jouer que lorsqu’il fait jour, mais les régions acoustiques les plus intéressantes se situent souvent aux crépuscules, quand les choses sont incertaines, ou hésitantes.

Ollivier Coupille est artiste sonore. Né en 1952, il vit et travaille à Paris.

https://olliviercoupille.wordpress.com/
https://olliviercoupille.bandcamp.com/


– – – –
à L’Échangeur à 15h00 >
– – – –

59 Avenue du Général de Gaulle
93170 Bagnolet
m°Gallieni
01 43 62 71 20
http://www.lechangeur.org/
[accès]

15h30 >

L’audible poursuit sa collaboration avec le CRD de Pantin en consacrant une séance aux oeuvres des élèves issus de la classe d’électroacoustique dirigée par Christine Groult.

Le studio de composition électroacoustique du Conservatoire à Rayonnement Départemental de Pantin bénéficie d’une notoriété de longue date. Il a été fondé en 1972 par Fernand Vandenbogaerde dans le cadre du conservatoire expérimental de Pantin. Nous fêtons donc cette année les quarante ans de sa création. J’en ai repris la responsabilité en 1990, rejointe en 2008 par Marco Marini. C’est dans le prolongement de la tradition Schaefferienne que s’inscrit l’enseignement. On y pratique la démarche concrète, la musique se fabrique à même la matière sonore que l’on taille, juxtapose, mélange et transforme tel un sculpteur.
L’enseignement offre un cadre de création, une dynamique et une exigence tant sur le plan musical qu’humain. La classe est ouverte à tous, aux musiciens certes, mais aussi aux plasticiens, danseurs, acteurs, techniciens, compositeurs chevronnés…, à tous ceux qui, passionnés par les sons, souhaitent s’initier, apprendre, jouer, inventer et réaliser.
On y pratique la musique électroacoustique de concert, la spatialisation sur acousmonium, les installations in situ, les musiques d’application… et tout ce que la pratique électroacoustique apporte à la vie artistique, à la vie sociale, à l’enseignement et à l’éducation. On y prépare, si on le souhaite, le cursus de composition musicale électroacoustique en trois cycles. Trois diplômes peuvent être obtenus : Art et technique des sons, le Certificat de Fin d’Etudes Musicales (CFEM), le Diplôme d’Etudes Musicales (DEM).

À l’audible 2011 et 2012 j’avais fait entendre les jeunes compositeurs de l’année en cours. Pour l’audible 2015 j’ai choisi cinq composit-eurs-trices qui ont jalonné différentes promotions, le choix a été cornélien bien évidemment. J’espère un jour programmer toutes les pièces composées au long de ces années. Alors que tout tend à nous tenir éloignés de ce que, précisément, l’art nous propose de vie libre et poétique, elles montrent un  engagement rigoureux des jeunes gens aux valeurs de l’esprit et de la création. J’ai beaucoup appris. Un grand merci à tous et longue vie au studio de Pantin.

CHRISTINE GROULT

ARIADNA ALSINA “Voiles vitrés” 11’

Notre mémoire est instable et malléable, elle ressemble à une matière qui change d’état en fonction de différentes conditions extérieures. Est-ce qu’on peut faire une analogie avec l’état vitré ? Il est comme un liquide avec une viscosité tellement élevée, qu’il a l’air d’un solide, sans l’être. Les changements extérieurs lui provoquent des changements de viscosité et densité. La structure de cette pièce s’inspire d’un parcours par différents états de la mémoire, un seul souvenir vu de différentes perspectives et degrés de profondeur. Il y a un travail de composition d’un espace où habitent différents plans simultanés et où il se produisent des phénomènes de masquage et démasquage. Les contrastes: Les différents points de vue desquels on approche un souvenir sont une métaphore qui inspire la forme de la pièce. Les différentes sections sont contrastées à niveau sonore : la densité, le registre, la vitesse à laquelle apparaissent les nouveaux objets ou éléments sonores, varie d’une section à une autre de façon à créer des perceptions et des formes d’écoute différentes. Les espaces : du proche au lointain mais aussi avec l’idée de donner l’impression d’être dans une matière ou bien de la regarder/écouter de l’extérieur. Il y a des moments où on intègre comme auditeur la matière qui nous entoure et le son nous met dans un état d’immersion. À d’autres moments on est un observateur extérieur de processus ou d’images qui se produisent les unes après les autres.

Compositrice, elle obtient à Barcelone les diplômes de Violon, Histoire de L’Art et Sonologie (École Supérieure de Musique Catalogne). Elle réalise après le Cours Européen de Composition Musicale et Technologies à la Sibelius Academy Helsinki et le Master en CAO à l’Université Paris 8 sous la direction d’Horacio Vaggione. Elle obtient un DEM en Composition électroacoustique avec Prix Sacem (2011) au CRD Pantin dans la classe de Christine Groult. Elle a étudié également la composition instrumentale et mixte au CRR d’Aubervilliers –La Courneuve avec Martin Matalón et elle est doctorante à l’Université Paris 8 sous la direction de M. Solomos et A. Bonardi. Elle s’intéresse aux technologies interactives et à la composition musicale en rapport avec le mouvement et le geste. En septembre 2015 elle intègre el Cursus de l’Ircam et un Master à la HEM de Genève. Elle a reçu également les cours de Luis Naón, José Manuel López López, Daniel Teruggi, Hèctor Parra, entre autres. Elle a participé au stage d’acousmonium avec Jonhatan Praget dans le cadre des Journées de l’électroacoustique en 2011 à Annecy. Elle a présenté ses travaux notamment à Barcelona, Madrid, Helsinki, Tallin, Berlin, Yogyakarta, Paris, La Habana, Genova, Lisbone et Rome.


MARCO MARINI “Messages des hirondelles” 10’53 (2005)

Message des hirondelles » est conçu comme une phonographie imaginaire du monde végétal en pleine renaissance printanière. Si les autres saisons semblent se succéder dans un fondu-enchaîné, le printemps me fait l’effet d’une irruption soudaine d’une grande violence. La nature toute entière paraît se livrer à un débordement, saturant tous nos sens de senteurs, couleurs, sons, chorégraphies des plus insensées. Le monde végétal en particulier semble être le chef d’orchestre d’une invasion de territoires massive et frénétique. Néanmoins, un temps d’arrêt sur l’éclosion d’une fleur nous permet d’apprécier la fragilité de cette poésie à l’état brut, forte en contrastes.

Cette pièce se décompose en trois parties enchaînées proposant chacune un plan différent:

1. « Montée de sève » (3’49)

2. « Floraisons multiples » (2’48)

3. « La grande éclosion » (4’15)

Batteur dans différentes formations de musiques actuelles (rock, jazz, variétés, fanfare…) depuis 1979, son activité de musicien l’amène au fil des années à partager son temps entre l’interprétation, la pédagogie, le travail du son et la composition. De 1995 à 2005, compositeur musicien-comédien au sein de la Compagnie Materia Prima (Nancy). En 2004, il participe aux ateliers GRM-ADAC (Paris V°) avec Régis Renouard Larivière et Christian Eloy. Cette même année, il obtient le prix « Résidence » au 31e Concours International de Bourges avec « Étude aux cuics et aux couacs ». En octobre, il entre à l’ENM de Pantin dans la classe de composition électroacoustique de Christine Groult et obtient son DEM avec mention en juin 2006.

De 2005 à 2007, il est accueilli en plusieurs résidences (Birmingham-UK, Agropolis-Montpellier, Kültürfabrik-Lux), participe à plusieurs projets de création (ENSCI, Cie Tout Va Bien) et réalisations discographiques (Rosette, TBGM, Nicolas Guillemet). Installé à Paris depuis 2007, il perpétue son travail de composition et de collaboration avec différents artistes et compagnies de théâtre et de danse. Ses pièces sont jouées dans des festivals et concerts internationaux (Bourges, Santiago du Chili, Birmingham, Barcelone, Mexico, Oslo, GRM Radio France…). Il collabore à la Muse en Circuit et développe un travail d’improvisation avec une interface textile.  Il vient de succéder à la classe de composition électroacoustique Christine Groult au Conservatoire à Rayonnement Départemental de Pantin.

GORKA ALDA “Félures de l’aube” 11’30

Oeuvre inspirée des Salines et du Parc Naturel de Cabo de Gata à Almería (Espagne). Fêlure d’un lieu entre terre, mer et ciel. Fêlure aussi temporelle, d’une aube se situant éternellement à la frontière entre la nuit et le jour.

Vit et travaille à Paris. Il écrit des œuvres électroacoustiques et mixtes qui cherchent à exprimer un lieu dont la musicalité le séduit en dialogue avec sa propre matière. Ceci lui permet d’avoir une écoute du lieu en essayant d’instrumenter les différents espaces qui le composent et de les faire dialoguer. Il s’inspire souvent de notions de physique: l’énergie du vide, les trous noirs… et aime travailler en étroite collaboration avec des plasticiens, poètes, chercheurs…Prix « Rencontre entre les Arts » de la Fondation Eduardo Chillida en 2002.

ANA DALL’ARA MAJEK “La Lechuga” 15’

Inspirée du mouvement surréaliste, “La Lechuga” est une pièce qui met en scène une laitue dans toute la splendeur de sa trivialité.

Le point de départ du projet est l’enregistrement d’une laitue romaine et de comédiens qui réagissent à la vue du légume. La pièce explore les différents degrés d’écoute, le timbre de la voix et la morphologie des mots en Espagnol. L’histoire sonore décrit tour à tour d’étranges transformations de la laitue, suscitant de la curiosité, de l’attirance, jusqu’à la peur. « La lechuga, ¿Qué es eso?” Qu’est-ce que c’est? Laissez les personnages vous le conter…

(Narrateurs: Ida Toninato et Alfredo Mendoza)

Compositrice cosmopolite influencée par la musique concrète et sa formation de harpiste, elle réalise des musiques pour le concert, la danse, les spectacles et la vidéo.

Actuellement au Doctorat en composition à l’Université de Montréal, elle explore les différentes philosophies qui résultent de l’hybridation instrumentale, électroacoustique et informatique. Elle a récemment collaboré avec le chorégraphe F. Raffinot pour le spectacle “Laborintus” (Paris), le réalisateur P. Lapierre pour le film “Le Cosmos sauvera le peuple”  (sélection aux courts métrages du festival de Cannes) et la saxophoniste Ida-T avec le chorégraphe Jason Shippley-Holmes pour le spectacle “Inside_Dream” (Montréal). Participant à de nombreux festivals et concours internationaux, elle a obtenu des commandes, notamment de Musiques et Recherches (BE), Densité 93 (FR), Musicalta (FR), SeaM (GE) et Distractfold (UK). Sa musique est distribuée par le label Kohlenstoff Records: http://kohlenstoff.ca/album/air


ESTEBAN ANAVITARTE “OTOM-A” 10’

Crée en 2009 dans le contexte de la classe de composition électroacoustique de Christine Groult,   Construction sonore inspirée de certaines images des quartiers abandonnés de la ville de Detroit aux Etats-Unis après la crise de l’industrie automobile. La migration inévitable, les successives désintégrations des espaces habitables, la trace humaine silencieuse et visible. Le quotidien imperturbable, l’illusoire et fragile confort de notre espace immédiat et familial,  la conséquence impitoyable de la mort.

Compositeur expérimental multi-instrumentiste, également improvisateur, compositeur de musiques du film. Il fait des études de composition au Chili tout d’abord et en France, il apprendra le répertoire de la musique concrète, en tant qu’art acousmatique avec Christine Groult,  Denis Dufour et la composition instrumentale avec Thierry Blondeau essentiellement. Il se consacre surtout à l’improvisation, en solo et en collectif, et à la création de dispositifs analogiques modifiant le son au travers des microphones divers et des instruments électriques et acoustiques : feed-back, ondes radiophoniques, dispositif vidéo. Le travail sonore d’Esteban est fortement inspiré par les recherches en cinéma expérimental, la poésie contemporaine latino américaine  et certains courants artistiques post guerre. Dernièrement  il concentre son univers artistique sur le travail scénique où la dimension corporelle prend une place primordiale.

– – – –
http://musicinsitu.eu/

– – – –

CAROLE RIEUSSEC
Pionnières de la musique électronique et concrète, volet 3.

Carole Rieussec est artiste électroacoustique et performeuse ; depuis 1986, elle compose avec les bruits, les voix et les rythmiques du monde. En 1988, elle intègre le studio de création de Luc Ferrari à Paris, la muse en circuit, elle compose à ses côtés durant sept ans. En 1990, elle rencontre Jean-Kristoff  Camps dans un septet de platine tourne disque, les arènes du vinyle, ensemble ils forment le duo KRISTOFF K.ROLL, labyrinthe sonore à entrées multiples. Elle est sonographe à tendance minimaliste, le travail avec les haut-parleurs, et la relation du son à l’espace est un axe fondamental de sa poétique. En 1998, elle plonge dans la pratique improvisée et  depuis multiplie les concerts live électroacoustique en France et à l’étranger. Par ailleurs elle a créé et codirige le festival sonorités à Montpellier, elle est également membre du comité de rédaction de « revue et corrigée », surface écrite des pratiques expérimentales, au sein de cette revue, elle crée une net rubrique audio dédiée au genre et à l’expérimentation artistique : wi watt’heure.  

LILY GREENHAM
“Relativity » (1974)
« Autor » (1973)
« Expérience » (1975-76)
ROBERTA SETTELS  » P1 information ? 1985
PAULINE OLIVEROS « Bye bye Butterfly » (1965)
ELSE MARIE PADE « Face it » (1970)
LILY GREENHAM “Traffic » (1975)
GISÈLE RICARD « Je vous aime » (1987)

avec la participation EMILIE MOUSSET et JEAN-YVES BOUR pour la spatialisation.

Depuis quelques temps, je compile des œuvres de musique électronique composée par des femmes compositrices de la même génération que les « grands maîtres » de la  musique électronique et concrète. Cette contre histoire active une archéologie sonore que je complète à la fois sous un mode radiophonique, documentaire avec la rubrique wi watt’heure sur le site de revue et corrigée, et d’autre part sous un mode compositionnel et performatif avec le solo FAR EST, dans lequel musique électronique et paroles de femmes artistes tissent une sorte de « folklore expérimental ».
Ce volet 3 propose, en plus des œuvres purement électroniques, une diffusion d’œuvres mêlant le son électronique à la voix, et  aux matières concrètes.

C.R
– – – –

À noter :
Par ailleurs, Carole Rieussec jouera FAR EST,  une performance électroacoustique le mardi 15 septembre à 20h au Point Éphémère, 200, quai de Valmy, 75010 Paris
www.festivaljerkoff.com

20h00 >

ANTHONY PATERAS

© Fabonthemoon

« The sound sings the speed » (2015) 9’00
(commande de création du festival)
musique concrète en multipiste (huit pistes)

Australien (né en 1979) installé à Berlin, Anthony Pateras est compositeur et improvisateur, pianiste et électroacousticien. Il travaille en solo, pour différents ensembles, croise de nombreux improvisateurs, pratique la musique de film et vient de terminer un disque «Geocidal» avec Mike Patton.
Ses compositions instrumentales sont autant marquées par la pensée musicale de Varèse que celle de Xenakis, auxquelles il apporte toute l’incongruité et la magie issues de ses expériences en studio ou en  improvisation. L’électronique et l’électroacoustique tiennent une place centrale dans son travail.  Lui commander une pièce pour le festival faisait donc sens.

Ce travail de commande a été en partie réalisé en résidence au sein du studio de création analogique et numérique de La Muse En Circuit (Alforville) du 26 mai au 5 juin 2015.

http://anthonypateras.com/


LASSE MARHAUG

« The First Eight » (2015)
(commande de création du festival*).
Une composition multipistes pour 8 hauts-parleurs, la première de son auteur depuis 2008.

Autant à l’aise aux côtés de Merzbow ou John Wiese que de Paal Nilssen-Love ou Mats Gustafsson, Lasse Marhaug joue de la matière bruit en situation d’improvisation ou de composition. Brut, saturé et savamment orchestré !
Il dirige également le label Pica Records et la maison d’édition Marhaug Forlag. Il préfère le thé à l’alcool, il est fan de Metal, heureux papa et vient juste d’avoir 40 ans !
L’Audible Festival lui a passé une commande pour une composition multipiste.
La pièce contient des enregistrements de Jacob Felix Heule (batterie), Guro Skumsnes Moe (basse), Håvard Skaset (guitare), Stine Janvin Motland (voix), Martin Taxt (tuba).

Avec le soutien de Music Norway

http://lassemarhaug.no/


AKOS ROZMANN «Image of Dream and Death»  (1974-77 / 120 minutes)

Ákos Rózmann (1939 – 2005), un organiste et compositeur hongrois de musique électronique et électroacoustique. «Image of The Dream and Death» est une œuvre électronique sombre et ténébreuse, qui symbolise une lutte entre le bien et le mal avec de grands mouvements qui évoquent parfois les musiques de Pierre Henry ou Tod Dockstader. Nous écouterons la quatrième version réalisée aux studios EMS à Stockholm en 2001 et qui fut publiée par Stephen O’Malley sur son label Ideologic Organ.

Diffusion par MATS LINDSTRÖM, directeur artistique des studios EMS de Stockholm.

Mats Lindström (Suède, 1960) est compositeur et musicien. Ingénieur en électronique de formation, sa pratique est intimement liée à la conception de dispositifs uniques, dont certains utilisent la lumière comme source sonore. Spécialiste des arts sonores et des musiques électroacoustiques, il intervient comme conférencier dans le monde entier et comme interprète de pièces du répertoire. Depuis 2004, il est directeur artistique du Elektronmusikstudion (EMS) à Stockholm.

– – – –

*Commande commune entre L’Audible Festival et l’Ina GRM.

– – – –

RESTAURATION LÉGÈRE SUR PLACE

– – – –



Stand METAMKINE sur place (disques, livres, revues…)





METAMKINE propose un large éventail de musiques électroacoustiques et improvisées, historiques et actuelles, ainsi que quelques livres et magazines.

– – – –

Tarifs :

Après-midi : 8 euros

Soirée :
14 euros plein tarif sur place
12 euros prévente & abonné(e)s Instants Chavirés et Théâtre L’Échangeur
Préventes à 12 euros en suivant ce lien.

après-midi et soirée :
16 euros plein tarif sur place
14 euros prévente & abonné(e)s Instants Chavirés et Théâtre L’Échangeur  
Préventes à 14 euros en suivant ce lien

PASS 3 JOURS : 36 euros

– – – –

Rejoindre l’événement FB

– – – –

en partenariat RADIO CAMPUS PARIS *93.9 FM